Hitsville U.S.A. Voilà le surnom qui était donné aux quartiers généraux de la Motown à la fin des années 1950. La Motown, premier grand label de black music fondé par Berry Gordy, a laissé une trace indélébile dans l’histoire de la musique noire américaine, et plus encore dans celle de la musique Soul. Des Temptations, en passant par les Jacksons 5, the Four Tops, the Marvelettes ou encore les Supremes (liste non exhaustive !), tels sont les artistes qui ont permis à ce courant musical de gagner ces lettres de noblesse auprès du grand public, au point de faire passer comme courant, dans la culture américaine, l’expression de « motown sound ».
Pourquoi ce petit cours d’histoire me direz-vous ?
Si je vous fais un bref topo de ce courant, c’est bien entendu parce que c’est davantage dans cette catégorie qu’il faudrait classer Mayer Hawthorne, et son album « A Strange Arrangement ». Sorti en Septembre 2009 au Etats-Unis, l’album déboule seulement au printemps 2010 dans le pays de Johnny, Mylène et autre Patrick.
C’est donc dans un univers très retro soul où nous fait plonger l’artiste, où les hommages aux grandes voix de la soul pullulent. L’album alterne ballades soul et chansons plus rythmées, sorte de pop soul sucrée du plus bel effet. Y’a pas à dire, Mayer connaît ses classiques et tente de nous faire pénétrer dans son univers soul avec une production très propre, bien soutenue par ses musiciens et un enregistrement à l’aide de vrais instruments (même si notre ami, se révèle être un bon DJ également… mais il n’est pas questions de platines ici !).
Des chansons comme Your Easy lovin.., One Track Mind ou encore The Ills donnent irrémédiablement envie d’aller faire chavirer sa partenaire sur le dancefloor. Pas vraiment envie de swinguer ? Fallait le dire… Pas de souci, l’ami Mayer a prévu un arsenal de ballades que ne renieraient certainement pas Curtis Mayfield ou Otis Redding.( I Wish It Would Rain, Let Me Know ou encore My Green Eyed Love pour ne citer qu’elles).
L’univers de Mayer a tout donc pour nous séduire, un voyage au pays de la soul sous toutes ses formes en quelques sortes.
À l’heure où on semble assister à une renaissance (comment ça ? j’entends dire hype dans le fond ??) de la soul en France, il serait vraiment dommage de se priver du talent et des compositions de Mayer Hawthorne. Certes il n’y a rien de neuf, et il ne fait que remettre au goût du jour une musique vieille de 40 ans. Mais cela reste très accessible, même si plusieurs écoutes peuvent se révéler nécessaires pour en saisir toute la portée.
ET peuvent révéler à tout jeune auditeur les merveilles de ce courant musical riche et décidément intemporel.
Si on ne devait en garder que 3 : Just Ain’t Gonna Work out, Your Easy Lovin’ ain’t Pleasin’ Lovin, Green Eyed Love !
Voici le clip de Just Ain’t Gonna Work Out, qui avait fait un joli petit buzz il y a déjà quelques mois :
BB
Pourquoi ce petit cours d’histoire me direz-vous ?
Si je vous fais un bref topo de ce courant, c’est bien entendu parce que c’est davantage dans cette catégorie qu’il faudrait classer Mayer Hawthorne, et son album « A Strange Arrangement ». Sorti en Septembre 2009 au Etats-Unis, l’album déboule seulement au printemps 2010 dans le pays de Johnny, Mylène et autre Patrick.
C’est donc dans un univers très retro soul où nous fait plonger l’artiste, où les hommages aux grandes voix de la soul pullulent. L’album alterne ballades soul et chansons plus rythmées, sorte de pop soul sucrée du plus bel effet. Y’a pas à dire, Mayer connaît ses classiques et tente de nous faire pénétrer dans son univers soul avec une production très propre, bien soutenue par ses musiciens et un enregistrement à l’aide de vrais instruments (même si notre ami, se révèle être un bon DJ également… mais il n’est pas questions de platines ici !).
Des chansons comme Your Easy lovin.., One Track Mind ou encore The Ills donnent irrémédiablement envie d’aller faire chavirer sa partenaire sur le dancefloor. Pas vraiment envie de swinguer ? Fallait le dire… Pas de souci, l’ami Mayer a prévu un arsenal de ballades que ne renieraient certainement pas Curtis Mayfield ou Otis Redding.( I Wish It Would Rain, Let Me Know ou encore My Green Eyed Love pour ne citer qu’elles).
L’univers de Mayer a tout donc pour nous séduire, un voyage au pays de la soul sous toutes ses formes en quelques sortes.
À l’heure où on semble assister à une renaissance (comment ça ? j’entends dire hype dans le fond ??) de la soul en France, il serait vraiment dommage de se priver du talent et des compositions de Mayer Hawthorne. Certes il n’y a rien de neuf, et il ne fait que remettre au goût du jour une musique vieille de 40 ans. Mais cela reste très accessible, même si plusieurs écoutes peuvent se révéler nécessaires pour en saisir toute la portée.
ET peuvent révéler à tout jeune auditeur les merveilles de ce courant musical riche et décidément intemporel.
Si on ne devait en garder que 3 : Just Ain’t Gonna Work out, Your Easy Lovin’ ain’t Pleasin’ Lovin, Green Eyed Love !
Voici le clip de Just Ain’t Gonna Work Out, qui avait fait un joli petit buzz il y a déjà quelques mois :
BB